[Septembre 2020] Maître Dotan Lindenberg intervient lors des erreurs médicales commises pendant l’accouchement et la naissance
En cas de faute à l’origine d’un dommage, les professionnels du corps médical engagent leurs responsabilités. Lors de la grossesse, les professionnels doivent tout mettre en œuvre pour poser un diagnostic correct de nature à se donner les moyens de prendre les mesures adéquates.
Ainsi, lorsque la situation l’exige, ils doivent procéder à l’ensemble des examens permettant de déceler si le fœtus est atteint d’un handicap congénital (réalisation d’examens tels que l’amniocentèse par exemple). Ils doivent également procéder aux examens nécessaires pour vérifier que la grossesse se déroule dans de bonnes conditions et notamment si celle-ci ne se présente pas comme une grossesse difficile au regard de l’histoire et de la situation médicale de la parturiente.
Les erreurs ou fautes commises par les praticiens lors d’un accouchement peuvent avoir des conséquences d’une extrême gravité, en entraînant des séquelles parfois lourdes pour l’enfant.
Depuis 23 ans, le cabinet d’avocats de Me Dotan Lindenberg prend en charge les victimes de négligence médicale en Israel, et tout particulièrement les parents et enfants victimes de négligence médicale lors de l’accouchement. Fort d’une longue expérience en la matière, il est à même de vous conseiller et de vous défendre pour l’obtention d’indemnités auxquelles vous avez droit.
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[Août 2020] Négligence médicale accouchement : quand ça vire au cauchemar
L’erreur médicale lors de la naissance d’un enfant est spécifique par rapport à l’erreur médicale de l’adulte. L’enfant à naître peut être victime d’une erreur médicale qui peut être à l’origine de graves séquelles telles que l’infirmité motrice d’origine cérébrale.
L’avocat des victimes d’une négligence médicale lors de l’accouchement sera confronté à une nouvelle donne dont il faut connaître sa signification et ses limites. Il faudra aider les parents d’un enfant victime d’une erreur à sa naissance comprendre certains principes obstétricaux et pédiatriques, récents et essentiels, quant à la possibilité d’une erreur médicale commise lors de la naissance de leur enfant. Il faudra également expliquer aux parents d’un enfant handicapé la justice et l’obstétrique dans des termes simples, concis et synthétiques sans jargon artificiel.
Trop souvent, les parents d’un enfant victime d’une négligence médicale à sa naissance consulte un avocat spécialisé dans de mauvaises conditions : soit après une expertise médicale défavorable, soit après les délais pour saisir la justice.
Si vous pensez que votre enfant a été victime d’une erreur à l’accouchement, il faut consulter un avocat expert en négligence médicale lors de l’accouchement et ayant l’habitude de ce genre de procès dans un délai assez court.En effet, les souvenirs de l’accouchement s’effacent avec le temps rendant des expertises médicales plus difficiles. De ce fait, il n’est pas dans l’intérêt de la victime de négligence médicale lors de l’accouchement de tarder à consulter un avocat spécialisé dans la défense des enfants victimes d’une erreur à la naissance.
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[Juillet 2020] Quelles démarches juridiques entreprendre en cas de négligence médicale lors de l’accouchement ?
Les parents d’un enfant victime d’une erreur médicale à l’accouchement veulent souvent savoir quelles sont les démarches juridiques à entreprendre. La seule démarche essentielle est la suivante : il faut demander par lettre recommandée avec accusé de réception adressée au Directeur de l’établissement de santé en question une copie intégrale du dossier obstétrical.
Cette demande doit être accompagnée d’une copie de la carte d’identité nationale des parents. Les frais de reproduction restent à la charge de la victime selon la loi. La demande du dossier obstétrical doit viser l’entier dossier obstétrical y compris les éléments du suivi prénatal, de l’examen à l’entrée en salle de naissance, du travail (partogramme autrement appelé diagramme d’accouchement), du tracé du monitorage électronique foetal (tracé de l’enregistrement du coeur du bébé), de tout compte rendu d’extraction instrumentale (forceps ou ventouse) ou de césarienne ainsi que le compte rendu des éléments de prise en charge postnatale peu après la naissance. Souvent les parents demandent comment rédiger cette demande de communication du dossier obstétrical. Il n’y a pas de forme particulière de rédaction mais il faudra spécifier clairement les documents visés ci-dessus. Cette demande de communication du dossier médical est importante pour permettre à l’avocat expert en négligence médicale lors de l’accouchement de répondre sur-le-champ à toutes vos questions. Dans l’hypothèse où il existerait une résistance injustifiée à cette communication, il faut demander à un avocat de s’en charger.
Attention : il ne faut jamais inclure une demande d’indemnisation dans votre lettre car une telle demande pourrait en effet être reconnue comme une demande préalable ce qui va déclencher certains délais de procédure.
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[Juin 2020] Négligence médicale accouchement : évitable dans beaucoup de cas
On entend malheureusement souvent parler de cas de négligence médicale lors de l’accouchement en Israël, surtout en ce qui concerne les hôpitaux. Or, cela concerne tout le monde. Personne n’est à l’abri d’une négligence médicale, qui peut survenir lors d’un simple examen de routine ou d’une visite chez le gynécologue.
L’erreur de diagnostic
Il est impératif que le centre hospitalier ou le médecin arrive à un diagnostic adéquat pour pouvoir fournir les soins médicaux appropriés à la femme enceinte. Hélas, parfois une erreur de diagnostic peut survenir dans les cas où le personnel médical rencontre des imprévus.
Le traumatisme à l’accouchement et faute professionnelle
L’accouchement peut être un événement particulièrement difficile pour le nouveau-né, et pire encore s’il n’est pas géré de manière appropriée par le médecin et les infirmières. Les cas de négligence médicale pendant l’accouchement peuvent se produire de plusieurs manières, notamment l’échec de la césarienne, la mauvaise gestion d’une naissance difficile, un diagnostic erroné de l’état de santé du nouveau-né ou l’absence de contrôle des signes vitaux du fœtus.
Césarienne et négligence médicale
Une césarienne est souvent nécessaire pour préserver la santé du bébé en cas de détresse fœtale. Généralement, le bébé montrera des signes de détresse fœtale, comme un manque d’oxygène au cerveau et une diminution du rythme cardiaque, et une césarienne doit être administrée immédiatement pour éviter toute blessure au cerveau fœtal.
Si le personnel médical n’effectue pas la césarienne à temps, retardant la procédure dans l’espoir d’un accouchement normal, cette décision peut entraîner des lésions cérébrales permanentes pour le bébé.
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[Mai 2020] Avant d’intenter un recours judiciaire contre un médecin ou un hôpital
Compte tenu de ces critères, il faut savoir qu’avant d’instituer un recours judiciaire contre un médecin ou un hôpital, il est important d’évaluer le dossier tant d’un point de vue médical que légal pour s’assurer de la présence de ces éléments. Trop souvent, cette étape préalable est négligée par les avocats ne disposant pas de l’expérience requise, alors que cette évaluation est déterminante dans l’issue de chaque cas.
Il est bon de préciser que les recours en responsabilité médicale ou hospitalière sont facilités par l’existence d’une quantité d’experts médecins ou autres professionnels qualifiés fournissant aux victimes l’assistance nécessaire à l’établissement de leur preuve. Il n’est donc plus vrai, comme cela a pu être le cas auparavant, de dire que les acteurs du système médical se protègent entre eux et qu’ils refusent d’aider les victimes de fautes médicales.
Précisons en terminant que pour qu’une faute puisse engager la responsabilité d’un médecin ou d’un hôpital, il faut évidemment qu’elle occasionne un préjudice. Le préjudice est constitué des différents dommages causés par la faute professionnelle. Ces dommages peuvent être d’ordre matériel, corporel ou moral. L’auteur du préjudice est tenu de payer l’équivalent monétaire des dommages, tant pour le passé que pour l’avenir. En présence de séquelles importantes chez l’enfant, les sommes réclamées pourront ainsi être considérables pour compenser les coûts de ses besoins futurs, de ses pertes de revenus prévisibles et de la diminution de sa qualité de vie. Bien sûr, les parents auront également le droit d’être indemnisés pour les dommages qu’ils subissent personnellement compte tenu de l’état de leur enfant.
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[Avril 2020] Les règles concernant le recours judiciaire contre une erreur à l’accouchement
Il est important de savoir qu’en vertu de la loi, les père et mère sont de plein droit tuteurs de leur enfant mineur afin d’assurer sa représentation dans l’exercice de ses droits civils. Si vous pensez que votre enfant a été victime d’une erreur lors de l’accouchement, cette règle implique donc qu’il est de votre devoir en tant que tuteur de consulter un avocat expérimenté dans le domaine de la responsabilité médicale afin de faire évaluer le dossier et déterminer si un recours est possible.
Il est aussi important de savoir que tout recours judiciaire doit être exercé dans les trois ans à compter de la faute. Si les parents ne le font pas pour l’enfant dans un tel délai, il lui sera impossible de le faire lui-même une fois qu’il sera en mesure d’exercer ses droits lors de sa majorité. Afin de permettre une bonne évaluation du dossier et d’éviter le dépôt de procédures inutiles, il est préférable de consulter un avocat dès que possible suite à la naissance.
Mentionnons que trois éléments doivent être prouvés pour engager la responsabilité professionnelle d’un médecin ou d’un hôpital pour un événement survenant lors d’un accouchement :
- une faute,
- un préjudice
- une relation de cause à effet entre cette faute et ce préjudice.
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[Mars 2020] Erreur médicale lors d’un accouchement en Israel
Toute personne qui subit un préjudice à cause de la négligence d’autrui a le droit d’être indemnisée intégralement pour ses dommages.
L’enfant bénéficie de cette même règle fondamentale s’il subit des dommages lors de sa naissance. Que ce soit lors du travail ou de l’accouchement, il peut en effet être victime d’erreurs médicales ou professionnelles qui peuvent entraîner de graves séquelles. Médecins et hôpitaux ont maintes et maintes fois été condamnés par les tribunaux dans le cadre de recours en responsabilité médicale ou hospitalière institués dans toutes sortes de circonstances.
Des erreurs médicales pouvant mener à de graves séquelles chez l’enfant
À titre d’exemple, la réduction des risques en prévision de l’accouchement est une activité médicale qui, si elle n’est pas optimale, peut avoir des conséquences désastreuses tant pour la mère que pour l’enfant. Il en est de même pour la survenance inattendue d’un risque au cours du travail lui-même. Un monitorage inadéquat du rythme cardiaque fœtal lors du travail pourra par exemple entraîner une issue périnatale défavorable, tel un manque d’oxygène pour l’enfant. Il en est de même lors de l’accouchement où certaines interventions sont capitales, que ce soit au niveau du mode d’accouchement utilisé, des soins donnés au nouveau-né ou de la nécessité de réanimation néonatale dans certains cas. L’utilisation inadéquate d’un forceps ou d’une ventouse pourra aussi, dans certaines circonstances, provoquer d’importants traumatismes intracrâniens chez l’enfant.
Tous ces événements et bien d’autres peuvent créer des lésions cérébrales, des paralysies ou diverses autres infirmités pouvant générer des dommages ayant de graves répercussions sur toute la vie de l’enfant et celle de sa famille.
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[Février 2020 ] Témoignage d’une victime de négligence médicale en Israel
Il y a deux ans, Rachel, 33 ans, hôtesse de l’air, se fait opérer de l’intestin. Un défaut de surveillance postopératoire conduisant à une négligence médicale en Israel va bouleverser sa vie. Elle nous raconte son histoire.
“Ma maladie de Crohn a été diagnostiquée lorsque j’ai eu 20 ans. Il s’agissait d’une forme légère, avec une grosse poussée tous les deux ou trois ans. Je pouvais travailler et manger presque normalement. En fait, je ne me sentais pas malade.
En janvier 2008, un déménagement m’a obligée à changer de gastroentérologue. Pour lui, je souffrais de constipation et il m’a suggéré de me faire opérer. “C’est bénin, et après, vous serez tranquille.” Au départ réticente, je souffrais tellement que j’ai accepté. Bien que ce ne soit pas une négligence médicale en Israel, c’est déjà une grave erreur professionnelle. J’ai été opérée fin juillet. Deux jours après, je ne me sentais pas bien. Plus les jours passaient, plus j’avais mal. Le dimanche 10 août, un scanner révélait que les sutures internes avaient lâché, je faisais une péritonite. J’ai été réopérée l’après-midi même et j’ai fait un arrêt cardiaque sur la table d’opération.”
“A la suite d’une négligence médicale en Israel, je suis restée 60 jours en réanimation”
“Dans le coma, j’ai été transférée en service de réanimation. Il y avait peu de chances que je m’en sorte. J’ai de nouveau été opérée. Les médecins ont découvert un intestin nécrosé, pourri, ils m’ont ôté le côlon, la vésicule et je n’ai plus que 80 cm d’intestin grêle. Ils m’ont sauvé la vie. Jour et nuit, des infirmières se relayaient dans ma chambre. Quand elles me voyaient pleurer dans mon coma, elles appelaient mon mari, elles savaient que cela me calmait.
“On aimerait que les médecins reconnaissent leur responsabilité dans cette négligence médicale en Israel”
A suivre …
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[Janvier 2020] Parler de la négligence médicale en Israel pour éviter que ça ne se reproduise
Les occasions de tapage médiatique en matière de négligence médicale en Israel n’ont pas manqué ces dernières années : accidents de la route suite à des infrastructures défaillantes; décès d’un enfant suite à l’administration de magnésium aux urgences… Dramatiquement mis en scène par les médias, ces faits placent périodiquement sous les projecteurs les dysfonctionnements des services hospitaliers, en interrogeant la compétence et la responsabilité pénale des soignants ainsi que la fiabilité des établissements de santé. Ne serait-il plus possible aujourd’hui d’entrer dans un service hospitalier sans un sentiment d’angoisse, conséquence paradoxale d’un risque non négligeable de subir les méfaits des soignants ?
Actuellement en Israel, de nombreux« événements médicaux indésirables évitables » – essentiellement médicamenteux – sont recensés chaque année dans les établissements de santé. Si une minorité d’entre eux peut résulter de négligence médicale en Israel inexcusable sou d’incompétences avérées, beaucoup relèvent simplement du facteur humain, avec au premier rang la faillibilité des soignants et l’organisation systémique des hôpitaux. De fait, chaque soignant de bonne foi reconnaîtra combien sa pratique diagnostique ou thérapeutique est parsemée d’erreurs, d’écarts ou d’oublis, dont les conséquences sont variables mais qui traduisent tous la fréquente exposition des soignants, et donc de leurs patients, au risque de l’accident en Israel. Si les accidents graves provoquent une vive émotion et imposent des clarifications exigeantes, les nombreux incidents – objectivement moins graves – ne méritent pas moins d’attention : ils doivent amener les soignants à se questionner sur la manière dont ils assument, ou n’assument pas, les erreurs qu’ils commettent.
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[Décembre 2019] Les différentes catégories de l’erreur médicale en Israel
La faute de diagnostic : c’est la faute commise par le médecin lors de l’examen tendant à déterminer la nature des symptômes présentés par le patient. Ainsi par exemple, commet une faute de diagnostic le médecin qui s’abstient de rechercher des informations relatives à l’état de santé du patient ou qui ne sollicite pas l’avis de confrère plus spécialisé alors qu’un tel avis s’imposait ; ou bien encore le médecin qui ne prescrit pas un examen pourtant nécessaire à l’établissement d’un diagnostic.
La faute technique : c’est la faute commise dans l’accomplissement d’un acte médical à visée thérapeutique (soins) ou non (chirurgie esthétique), qu’il soit à visée préventive ou curative. Ainsi en est-il du médecin qui oublie une compresse dans l’abdomen du patient lors de l’intervention.
La faute d’information : il s’agit d’un manquement du médecin à son obligation d’information et de conseil. Par exemple, engage sa responsabilité, le médecin qui n’informe pas son patient des risques graves et normalement prévisible d’une intervention.
Le recours judiciaire tendant à faire reconnaître la responsabilité médicale d’un praticien ou d’un établissement de santé n’est pas la seule voie envisageable pour obtenir la réparation du préjudice subi.
C’est l’expertise médicale qui permettra de déterminer si le professionnel de santé a commis une faute dans l’exercice de son art.
Le médecin expert s’appuiera notamment sur le dossier médical du patient victime, sur la littérature médicale et sur les conférences des sociétés savantes pour déterminer si le praticien a agi conformément aux règles de la médecine.
[Novembre 2019] L’erreur médicale correspond à une mauvaise pratique de l’art de la médecine
Le médecin est tenu, dans l’exercice de son art, d’une obligation de moyen et non de résultat ; ce qui signifie qu’il n’est pas tenu de guérir les patients mais d’utiliser tous les moyens à sa disposition pour tendre à cet objectif.
Une seule erreur ne suffit pas à engager la responsabilité d’un professionnel de santé, encore faut-il qu’il ait commis une faute, c’est-à-dire qu’il n’ait pas dans l’exercice de son art, délivrer aux patients « des soins attentifs, consciencieux conformes aux données acquises de la science ».
Ainsi, en cas d’erreur de diagnostic le simple fait que le praticien se soit trompé dans le diagnostic ne permettra pas d’engager sa responsabilité. Il faudra que cette erreur résulte d’une faute de sa part. Il s’agira par exemple d’une carence dans la prescription ou la réalisation de tous les examens nécessaires qui lui auraient permis d’établir un diagnostic correct.
Une faute peut avoir été commise à tous les stades de l’activité médicale : établissement du diagnostic, prise en charge et suivi du patient…
La victime, très souvent profane, n’est pas en mesure de démontrer elle-même que le professionnel a commis une erreur médicale. Elle devra alors avoir recours à l’expertise d’un médecin que ce soit par la voie judiciaire ou par la voie amiable. L’expert s’appuiera notamment sur les constatations techniques réalisées, le dossier médical du patient victime, sur la littérature médicale et sur les conférences des sociétés savantes pour déterminer si le praticien a agi dans les règles de l’art, autrement dit si son comportement est conforme à celui qu’un patient peut légitimement attendre de tout bon professionnel prudent et diligent.
[Octobre 2019] L’erreur médiale ou négligence médicale lors de l’accouchement ?
On parle souvent d’erreur médicale alors qu’il faudrait plutôt parler de faute médicale car toute erreur ne permet pas d’engager la responsabilité d’un professionnel de santé. Encore faut-il que cette erreur soit fautive.
L’erreur médicale est une des conditions principales d’engagement de la responsabilité d’un médecin ou d’un établissement de santé, hormis quelques exceptions spécifiques prévues par la loi, pour lesquelles une faute n’est pas nécessaire pour engager la responsabilité.
- Dommages résultant de produits de santé défectueux,
- Dommages résultant d’une vaccination obligatoire,
- Infections nosocomiales …
Le médecin est tenu, dans l’exercice de son art, d’une obligation de moyen et non de résultat ; ce qui signifie qu’il n’est pas tenu de guérir les patients mais d’utiliser tous les moyens à sa disposition pour tendre à cet objectif.
[Mai 2019] Que faire en cas de négligence médicale lors de l’accouchement ?
Si vous avez subit un préjudice à cause de la négligence d’autrui, vous avez le droit d’être indemnisée
intégralement pour ses dommages.
Il en va de même pour un enfant qui aurait subi des dommages lors de sa naissance.
Que ce soit lors du travail ou de l’accouchement, il peut en effet être victime d’erreurs médicales ou
professionnelles qui peuvent entraîner de graves séquelles.
Médecins et hôpitaux ont été de nombreuses fois condamnés par les tribunaux dans le cadre de
négligence médicale accouchement.
Le soin médical réalisé durant l’accouchement doit être optimal.
Si ce n’est pas le cas, cela peut avoir des conséquences désastreuses tant pour la mère que pour
l’enfant.
Un risque inattendu peut subvenir durant l’accouchement et entrainer une négligence médicale
accouchement s’il n’est pas pris en charge rapidement et de façon adéquate.
Une mauvaise interprétation du monitoring et du rythme cardiaque du fœtus, par exemple, pourra
entraîner une issue périnatale défavorable, tel un manque d’oxygène pour l’enfant.
L’utilisation inadéquate de forceps ou de ventouses pourra aussi, dans certaines circonstances,
provoquer d’importants traumatismes intracrâniens chez l’enfant.
Si vous avez été victime d’une négligence médicale accouchement, avant toute initiative judiciaire il
convient de faire appel à un Avocat spécialisé dans le droit des dommages corporels.
Le cabinet Dotan vous accompagne et met tout en œuvre afin de faire valoir vos droits auprès de la
justice, si vous avez été victime de négligence médicale accouchement.
[Avril 2019] Questions à se poser en cas d’erreur médicale
L’ erreur ou la faute médicale obéissent à des notions médico-légales précises qui ne sont pas forcement évidentes.Exemple de question suite à une erreur médicale. La médecine est un art et la question est : le médecin a-t’il respecté les règles de l’art ? Il convient également de voir la question sous l’angle de l’indemnisation : je pense être victime d’une erreur médicale mais ne suis-je pas plutôt en présence d’un aléa thérapeutique ? En tel cas une indemnisation de la faute médicale est possible par la solidarité nationale. Quel est le montant de l’indemnisation du fait de cette faute médicale ?
[Mars 2019] Comment bien se faire indemniser d’une faute ou d’une erreur médicale ? Que faire ?
Définition erreur ou faute médicale
L’erreur médicale correspond à plusieurs situations. Le plus souvent il s’agit d’une erreur de diagnostic ou d’une erreur de soins. Il peut s’agir part exemple d’une erreur d’appréciation sur les soins ou par une mise en oeuvre tardive de ceux-ci. La jurisprudence, c’est à dire les décisions judiciaires, considère certaines négligences médicales soit comme des erreurs médicales , soit comme des fautes médicales. L’erreur est humaine et le médecin n’échappe pas à cette règle. Mais toute erreur n’est pas fautive. La distinction entre faute et erreur est ténue. Nous retiendrons comme définition de l’erreur médicale, l’erreur liée à l’incertitude et les impondérables de la médecine sans faute particulière des professionnels de santé. La faute médicale consiste dans la mise en cause de la responsabilité du professionnel de santé lorsque celui-ci n’a pas respecté les règles de l’art. Il ne s’agit pas de l’absence de réussite d’un acte médical mais de la mise en cause du comportement fautif du professionnel : faute d’imprudence, faute dans le diagnostic, faute dans la préparation ou l’exécution d’un soin. Il peut également s’agir aussi d’une défaut d’information. Nous retiendrons comme définition de la faute médicale qu’il s’agit d’un acte non conforme aux données acquises par la science au moment de sa réalisation. Concrètement la notion d’erreur médicale et de faute médicale sont très proches et cela ne change fondamentalement rien concernant l’indemnisation de la victime. Une solution, avant de commencer un recours pour faute ou erreur médicale, est de demander à un médecin expert son avis. Sauf dans le cas où la faute est manifeste et évidente, nous sommes toujours surpris à l’association de constater que des avocats assignent immédiatement sans même conseiller à leur client cette démarche préalable de bon sens.
[Février 2019] Erreur médicale suite à un accouchement. Quelles sont les possibilités pour être indemnisé ? Quelle indemnisation est alors possible ?
Je me permets de vous contacter pour savoir quelle serait la procédure à suivre pour déposer plainte ou de réclamer une indemnisation auprès de l’hôpital suite à un accouchement et une Erreur médicale. J’ai accouché en décembre dernier d’une petite fille à l’hôpital. L’accouchement s’est bien passé, sans complications, sur le compte rendu est écrit noir sur Blanc accouchement normal, délivrance (placentaire) normale. Le premier, quelques jours après être rentrés de l’hôpital, j’ai appelé les urgences de l’hôpital service gynécologie et la personne au bout du fil m’a dit de rester à la maison si je n’avais pas de fièvre. Je suis allée à l’hopital et une interne très désagréable n’a pas pris la peine de m’examiner malgré mes lamentations en me disant que c’était de ma faute car je n’avais pas repris la pillule contraceptive prescrite à ma sortie d’hôpital et que de ce fait mon retour de couche revenait et que je saignais par ma faute. L’opération s’est passée de complications et complications, ils ont en enlevant la dite masse, transpercé mon utérus à deux endroits et abîmé mon intestin grêle, après une hystéroscopie, une cœlioscopie, ils ont fini par une laparotomie abdominale, pour aller couper un bout d’intestin grêle et tout recoudre. J’ai également fait une réaction allergique rare aux produits anesthésiants, une hyperthermie maligne, qui a failli me coûter la vie. Je me suis réveillée en réanimation, perfusée aux deux mains, avec une sonde gastrique, une sonde urinaire, un énorme drain dans le ventre et en montée de lait. J’ai appris, 1 mois après l’intervention que la masse n’était pas comme ils me l’avaient assuré lors de mon hospitalisation un fibrome nécrosé s’étant développé pendant ma grossesse, mais un morceau de placenta oublié post-accouchement. Je vous remercie d’avance de revenir vers moi afin de me dire si une procédure est utile et quelle est la démarche à faire. Nous pensons qu il y a bien une erreur médicale sérieuse. Peut on être indemnisé ?
[Janvier 2019] Négligence médicale en Israel, quels sont les recours?
La négligence médicale est un concept légal indiquant un niveau de culpabilité. Certains patients pensent avoir subi un dommage dû à une négligence médicale en Israël de leur médecin, d’un autre professionnel de santé ou d’un établissement médical dans lequel ils ont été traités. Ils peuvent utiliser les voies juridiques pour réclamer des compensations financières pour le tort subi et/ou déposer une plainte pour négligence médicale en Israel auprès des autorités médicales.
Pour cela il faut se munir de tous les documents médicaux reliés à leur cas.
Dans la plupart des cas, il est possible de déposer une plainte pour négligence médicale en Israel seulement jusqu’à 7 ans après que le tort ait été causé.
en Israel Le patient devra apporter la preuve du lien de cause à effet entre le dommage subi et le traitement médical avec négligence médicale.
Personnes pouvant porter plainte et conditions préalables pour négligence médicale en Israel
Personnes ayant subi un dommage à la suite d’une négligence médicale
Les parents peuvent porter plainte au nom de leur enfant mineur.
Dans le cas d’un patient décédé à la suite d’une négligence médicale en Israel :
Il existe le droit de réclamer la succession du patient décédé, et si le tribunal décide de dommages et intérêts, ceux-ci passent dans la succession.
Les personnes dépendant du patient décédé qui ont subi un tort financier dû à son décès ont aussi le droit de déposer une plainte.
[Septembre 2018] Témoignage : “J’ai été victime d’une négligence médicale en Israel”
Il y a deux ans, Rachel, 33 ans, hôtesse de l’air, se fait opérer de l’intestin. Un défaut de surveillance postopératoire conduisant à une négligence médicale en Israel va bouleverser sa vie. Elle nous raconte son histoire.
“Ma maladie de Crohn a été diagnostiquée lorsque j’ai eu 20 ans. Il s’agissait d’une forme légère, avec une grosse poussée tous les deux ou trois ans. Je pouvais travailler et manger presque normalement. En fait, je ne me sentais pas malade.
En janvier 2008, un déménagement m’a obligée à changer de gastroentérologue. Pour lui, je souffrais de constipation et il m’a suggéré de me faire opérer. “C’est bénin, et après, vous serez tranquille.” Au départ réticente, je souffrais tellement que j’ai accepté. Bien que ce ne soit pas une négligence médicale en Israel, c’est déjà une grave erreur professionnelle. J’ai été opérée fin juillet. Deux jours après, je ne me sentais pas bien. Plus les jours passaient, plus j’avais mal. Le dimanche 10 août, un scanner révélait que les sutures internes avaient lâché, je faisais une péritonite. J’ai été réopérée l’après-midi même et j’ai fait un arrêt cardiaque sur la table d’opération.”
“A la suite d’une négligence médicale en Israel, je suis restée 60 jours en réanimation”
“Dans le coma, j’ai été transférée en service de réanimation. Il y avait peu de chances que je m’en sorte. J’ai de nouveau été opérée. Les médecins ont découvert un intestin nécrosé, pourri, ils m’ont ôté le côlon, la vésicule et je n’ai plus que 80 cm d’intestin grêle. Ils m’ont sauvé la vie. Jour et nuit, des infirmières se relayaient dans ma chambre. Quand elles me voyaient pleurer dans mon coma, elles appelaient mon mari, elles savaient que cela me calmait.
“On aimerait que les médecins reconnaissent leur responsabilité dans cette négligence médicale en Israel”
A suivre …
[Aout 2018] Parler de la négligence médicale en Israel pour éviter que ça ne se reproduise
Les occasions de tapage médiatique en matière de négligence médicale en Israel n’ont pas manqué ces dernières années : accidents de la route suite à des infrastructures défaillantes; décès d’un enfant suite à l’administration de magnésium aux urgences… Dramatiquement mis en scène par les médias, ces faits placent périodiquement sous les projecteurs les dysfonctionnements des services hospitaliers, en interrogeant la compétence et la responsabilité pénale des soignants ainsi que la fiabilité des établissements de santé. Ne serait-il plus possible aujourd’hui d’entrer dans un service hospitalier sans un sentiment d’angoisse, conséquence paradoxale d’un risque non négligeable de subir les méfaits des soignants ?
Actuellement en Israel, de nombreux« événements médicaux indésirables évitables » – essentiellement médicamenteux – sont recensés chaque année dans les établissements de santé. Si une minorité d’entre eux peut résulter de négligence médicale en Israel inexcusable sou d’incompétences avérées, beaucoup relèvent simplement du facteur humain, avec au premier rang la faillibilité des soignants et l’organisation systémique des hôpitaux. De fait, chaque soignant de bonne foi reconnaîtra combien sa pratique diagnostique ou thérapeutique est parsemée d’erreurs, d’écarts ou d’oublis, dont les conséquences sont variables mais qui traduisent tous la fréquente exposition des soignants, et donc de leurs patients, au risque de l’accident en Israel. Si les accidents graves provoquent une vive émotion et imposent des clarifications exigeantes, les nombreux incidents – objectivement moins graves – ne méritent pas moins d’attention : ils doivent amener les soignants à se questionner sur la manière dont ils assument, ou n’assument pas, les erreurs qu’ils commettent.
Me Dotan Lindenberg